Symphony for Abandoned Objects
The orchestra: vacuum cleaner hose, watering can, flower pots, rocks, empty sauerkraut tins, and other lost and abandoned objects. The friction between the “natural” harmonies of objects and our well-tempered musical culture strikes the spark of original, stimulating music.
The European tea-kettle becomes an African drum, while its whistle transports us to Brazil. The performer flies from one instrument to the next, playing on each. He becomes one with the music, mixing strings, woods, percussions, notes, rythms, inflections and expression. The flower pots, watering can and vacuum hose are long since forgotten…and at the end we remember that intially “symphony” meant “harmony”.
After almost twenty years, the ‘Symphony for Abandoned Objects’ has now become a true classic…its extreme simplicity and innovative humour continue to provoke us.
Creation 1988
- Director: Jean-François De Neck
- Production: Curieux Tympan asbl
Press
« Vous croyez peut-être qu’un aspirateur ne fait qu’aspirer et que les pots de fleurs ne servent qu’à faire pousser les plantes. Faux. Quand un magicien s’en empare, ils éclatent dans leur vraie nature (…) Avec ou sans eau, avec ou sans couvercle, ces objets font leurs gammes comme on respire et se mettent au diapason du balai-violoncelle, oeuvrent en duo, en trio, quintette, avec le bonheur des laissés-pour-compte qui font la fête quand ils se retrouvent. Un fête sauvage où l’harmonie a tous ses droits et où la musique avec un grand « M » préside à la récréation. Car ce garçon talentueux ne fait pas que rigolo. Il fait beau, subtil, soigne ses accords et vous emmène tout son monde de quincaillerie au pays béni de l’art musical…Attention, passé minuit, tout redevient bidon. » Martine Gayot – Le journal de Saône et Loire
« Ah dis donc, il a le « wythme » dans la peau ce blanc-là ! Vrai que Max, l’homme bouilloire, n’a rien d’une cruche ou d’un empoté lorsqu’il s’installe face à ses instruments. Tout fait du son avec lui et sa sonate pour bouilloire en alu est un régal. Il cultive le récital sur pots de fleur avec bonheur, manie le manche à balai avec une dextérité de Pablo Casals. Enfin, presque…C’est vrai alors, objets inanimés vous auriez donc une âme ? Max Vandervorst sait leur en donner une avec sa « Symphonie d’Objets Abandonnés ». Il embouche, presse et tapote tout un tas de cochonneries que vous avez l’impudence de balancer dans votre poubelle chaque jour de votre morne vie sans musique (…) Et puis, quel souffle, quel coffre ! Quelle ménagère irait imaginer que derrière son aspirateur se cache un instrument délicat ? Incontestablement, Max ira loin car il aspire à la grande musique. Celle dont on dit qu’elle est faite de bruits qui pensent… » Laurent Bertagnolio – La Nouvelle République du Centre-Ouest
« Elle est là, la poésie. Dans cette métamorphose du quotidien par le langage. Dans cette charge d’émotion dont s’imprègne le banal. Dans cette connivence entre la forme et le fond. Amateurs d’inattendu, curieux de tous poils, gourmets d’hilarité : le menu est pour tous, car il rend serein. » Michel Voiturier – L’Escaut
« Le poète est délicieux mais il ne doit pas faire oublier le musicien. Un solo de bouilloire virtuose nous rappelle que « Good Max » n’en est pas à ses débuts…Son univers musical est habité de mélodies simples mais qui vont droit au cœur ». François Kokelaere – Batteur Magazine
« Ne pas aller le découvrir constituerait une infraction à la culture musicale… » – Le Nord-Vaudois
« Max et ses objets sont étonnants, talentueux, originaux, créatifs et émouvants. Ne les ratez pas quand ils passeront dans votre coin. » André Joos – La Cité
« Max Vandervorst packte die Zuhöher an der Seele. Ob mit einer Zirkuspolka auf Gurkentöpfen; einem kleinen Konzert für Staubsauger oder einem Blechtopf-Gitarrensolo: Ursprünglicher und reiner als Vandervorst kann man Musik nicht darbieten. In seinen Melodien spiegelten sich ganze Kulturen wider: Afrika, Asien, Frankreich, Russland und die Karabik zogen vor dem geistigen Auge vorbei und ermöglichten den Zuhörern eine Vorstellung von der Entstehung der Muzik…” Heike Nickel – Kölner Stadtanzeiger
“Un viaggo attraverso l’inventivita e la sensibilità di questo belga dagli occhi vivassini, curioso del monde e degli oggetti più insignificanti che gli stanno intorno ma soprattutto del loro rumore del quale fa tesoro, capitalizzandolo, modellandolo e restituendolo allo spettatore in una fascinazione musicale che ha radici antiche » Dario Vassalo – Il Giornale
« Wie in de domzaal de dramatische muzikale performance van Max Vandervorst op dagelijkse voorwerpen heeft gemaakt – bloempotten, blikken dozen, fietskader, waterketel, gieter – zal voor eeuwig en drie dagen met een heerlijk gevoel terugdenken aan Oorsmeer » – De Gentenaar
« En definitiva en Max Vandervorst va estar genial » M.D. Canellas – El Correo de Andalucia