Musical Chairs in Central Pataphonia
“Ladies and Gentlemen, welcome to the Musical Chair Museum of Central Pataphonia. We kindly request you not to touch any of the exhibits. To make the tour as agreeable and orderly as possible, you are now invited to take a seat…but not on the chairs! Thank you… We may begin…”
Starting from a play with words referring to a game known by all, Max Vandervorst – undomesticated luthier and accomplished patamusician – having distilled over many years the plastic art of the musical bottle, and caused numerous tin cans and abandoned bicycles to ring forth in pure harmony, focuses once more his attention on a mundane object, (mis)used as an entry point into yet another fantastic musical universe.
For one half-hour, you will learn “how to travel around the world without leaving your kitchen”, play the ‘litho-chair’ without being off-key, and tame the jungles of Equatorial Pataphonia. You will listen to a string-chair trio, the famous washing-chair, and many other surprises.
One thing is for certain : once you’ve attended this latest Master Class, you will never again (as the saying goes) sit on a chair in quite the same way…
Creation 2007
- Creation and performance: Max Vandervorst
- (Musical) Chairman: Bernard Massuir
- Technic: Claire Steinfort
- With the artistic cooperation of Amalgame (Michel Vinck and Elisabeth Houtart).
- Co-produced by Curieux Tympan asbl – CCRD/Maison de la Pataphonie – Namur en Mai.
- With assistance from the CFWB Ministry.
Press
« A ne manquer sous aucun prétexte non plus, la visite du musée de la chaise musicale au Théâtre de Namur proposée par Max Vandervorst, toujours aussi inventif et talentueux, heureux comme un savant fou au coeur de sa Pataphonie centrale. Une visite à faire assis par terre pour mieux écouter le son de la chaise guitare, d’une rivière de cuillères, de la contre-chaise ou du xylochaise et finir par un concert improvisé où le serpent à sonnette rivalise avec la chaise de pluie. Face au don de notre musicien concitoyen, on se prend à rêver de lui, un violoncelle entre les mains pour un concert d’une heure au moins(…) » Laurence Bertels – La Libre
« On vous recommande chaudement : le musée des curiosités de Max Vandervorst. On pourrait dire que Max est un être hybride issu de l’union monstrueuse de Breton, Magritte et du Facteur Cheval. Des coupes de cristal que l’on fait chanter, au Merle à eau qui gargouille quand on lui souffle dans le ventre, Max a soufflé dans tout ce qui peut être soufflé. » A-F So – La Libre
« On connaît Max Vandervorst, le luthier sauvage, l’homme qui découvre des sons là où personne ne les entend. Alors qu’il était demandé en France, le belge a choisi Namur, et le contexte du Festival des arts forains, pour créer son nouveau spectacle, intitulé Les chaises musicales. Le titre est à prendre au premier degré : c’est bien avec des chaises que Max propose de produire de la musique (…) Avec la complicité du public, dans une ambiance posée très en contraste avec les excès de la rue, Max Vandervorst fait la démonstration sonore des xylochaises, de la lithochaise, de ces chaises dans lesquelles on souffle, sur lesquelles on frappe, celles qu’on gratte ou qu’on secoue pour créer une ambiance forestière, campagnarde ou festive. La poésie n’est jamais loin du dossier, la surprise est à la portée du premier barreau venu… Proche des surréalistes, Max Vandervorst attache autant d’importance au résultat sonore de ses chaises customisées qu’à leur présentation esthétique. Un petit moment de grâce subtile à réserver aux esprits libres et rêveurs. » A.Debatty – Vers l’Avenir
« Questa settimana «Incanti» si è aperto con un vecchio amico del festival, Max Vandervorst, l’angelo dei suoni capace di disvelare l’ anima musicale degli oggetti, anche dei più umili e dimenticati. A vederlo si stenta quasi a credere che esista, sembra una creatura d’ altri mondi arrivata tra il pubblico proprio per condurlo in quegli altri mondi: eterei, al suo pari. Ogni oggetto nelle sue mani prende vita, quasi fosse risvegliato dal letargo del nostro quotidiano, e una miriade di voci vengono allora a comporre una sinfonia insospettabile. Con Chaises musicales, presentato al festival in prima nazionale, Max Vandervorst ci introduce in una sorta di museo delle sedie. Non sono le loro forme a colpire, ma lo stupore dei loro suoni: sedie che si trasformano in flauti, xilofoni, tamburi, arpe. è un incantamento poetico e umoristico continuo: si può addirittura fare il giro del mondo tra poche sedie da cucina. Il gioco cattura il pubblico, musicalmente travolto, e allora tutto, ma proprio tutto diventa melodia: innaffiatoi, bottiglie di plastica, manubri di bicicletta. Ma questo è già il dono dei bis e l’ ultimo dono serale d’ Incanti. » Alfonso Cippola – La Republica