The Man from Spa
Deep in the jungle of speeches about waste recycling and ecological taxes, where man’s musical ear has seldom set foot, we may yet find wild blossoms emerging from the decayed wrappings of our daily discards.
Born from a chance encounter between an Apache chant and a Martian dance, on a night when the full moon was joined by a thousand stars, raised in the love of music from around the world, and nourished with remnants of Plastic Art, the enigmatic Man from Spa is a sorcerer, luring us into a a ritualistic initiation whose theme is the plastic bottle, finding its climax through the rythms of a grandiose and popular rumba.
Ever since his birth in 1995, the Man from Spa has travelled the world over, using different identities: Het Spamanneke, der Mann aus Spa, l’Homme d’Aigua, Homo Aqua…He is back, don’t miss him… although the bottles are different, the pleasure is still the same.
- Creation and performance: Max Vandervorst
- Director: Jean-François De Neck.
- With the artistic cooperation of Amalgame (Michel Vinck and Elisabeth Houtart)
- Technic: Roberto Bonomo et Claire Steinfort
- Produced by Curieux Tympan asbl
- With support from the CFWB Ministry
https://vimeo.com/manage/377029988/general
Press
« Emerveillés, les gens riaient de ses audaces, de ses incroyables trouvailles, se disant que plus jamais ils ne traiteraient avec dédain ces vieilles bouteilles abandonnées dans les poubelles. Contaminés pas sa science de faire des prodiges avec rien, les spectateurs s’emparèrent de bouteilles en plastique pour le suivre dans une rumba endiablée qui mit toute la salle en transe…. » Christelle Prouvost – Le soir
« Max Vandervorst évolue en véritable homme-orchestre pour recréer, l’espace d’une heure, quantité de musiques du monde (…) La démonstration musicale est brillante et la ferveur de la créature communicante, qui voit le spectacle s’achever dans une rumba joyeusement anarchique, point d’orgue d’une fable inspirée et hilarante. » Jean-François Pluijgers – La Libre Belgique
« Un univers de plastique et de magie, où nos seuls repères sont musicaux. Des sons rares et précieux de l’Orient, on passe aux rythmes sud américains. Parti des percussions africaines, on s’éloigne, d’un incroyable coup de rame (électrique) vers l’Arabie Saoudite puis les Etats-Unis, ceux du rock ou du jazz. On se tait, on rit, amusé ou sceptique (non, il est trop fort !), on participe, plus ou moins doués, on s’émerveille en tout cas. – L’Avenir du Luxembourg
« Et ce qui pourrait être une symphonie des restes se transforme en apologie joyeuse des origines de la création musicale. On en redemande… » Françoise Nice – RTBF
« Du grand art ». Frédérique Meichler – L’Alsace